Jeudi 24 janvier 2008 à 16:08



VIDE.
Perplexe devant l'aspect surgore d'un pamplemousse devoré, comme de la viande par un fauve.
Par où est ce qu'on passe?
Toute ma vie avec vous,
Cherry.
Rythme de travail surlent et temps limité.
L'impression d'etre en avance par rapport à d'autres me frenne considerablerment.
Tout vivre avec vous,
Cherry.
Tout.

En boucle, infinita tristeza
Pour un rien, oui je sais.
Ok, babai, comme elle dit.
RA samara. tu l'a dis.





Mardi 22 janvier 2008 à 7:50



Le silence tout blanc sans aucune intrusion que ce soit de l'interieur ou de l'exterieur.
J'aimerai etre demunie de ce pouvoir que l'on utilise à mauvais escient.
plus parler. etre muette.
Un bouton sous la gorge, MUTE.
etre demunie de ce besoin maladif de communiquer, de dire, d'ecrire, d'envoyer, d'appeler.
Se sentir dependante est tellement insupportable , se lever le matin et regarder ses mails, son portable, ses messages sur msn deconectée, c'est tellement pathetique.
Je voudrais etre toujours toute proche et n'avoir rien a dire.
Je voudrais etre sure et savoir sans qu'on me le dise.
Capricieuse et puerile, peur de perdre le peu de ce que j'ai deja.
Impression que plus j'avance, plus je recule.
Cette certitude avancée par de vieux scientifiques est terrifiante.
L'enfant à un milliard ou plus de capacités d'aprentissage et de ce fait beaucoup plus de capacités a reflechir.
Plus nous avancons plus nous perdons de capacités et plus nous devenons passif devant une vie predecoupée.
Le silence denué de bacteries, microbes, poussieres, dénué de vie, de l'oxigène pure, le silence total aussi bien dans le son que dans la matiere, le vide desinfecté.
Athsme, chere amie, la gorge dilatée par ce medicament omniprésent.
Je tombe malade.
infinita tristeza.
infinita tristeza.
infinita tristeza.
infinita tristeza.

Vendredi 18 janvier 2008 à 16:21

wax tailor.


What ever will be, will be.
Je veux surtout ne jamais te perdre, entrecoupée de milliers d'excuses.
No doubt No doubt.
Envie d'en ecrire des tartines pour bien enfoncer le clou.
en essayant de me retenir de t'appeler HAHAHA.
Surcollante comme ce mal de tete qui s'insinue de plus en plus insistant.
Apres avoir dormi toute une apres midi, encore revulsée des cauchemars d'un someil dans la chaleur de ma couette en plein été.
Quant à mon visage sur les photos de mathilde que j'ose exhiber tant elle me change.
Chaud.
La musique tourne en boucle et j'en suis sure massacre mon cerveau douloureux.
Besoin de voir Lena. Pleurer pour rien avec elle.
OUAIS EXACTEMENT TU ME MANQUES VEAURIEN.
comme la basse repetitive de la Hardtech, un manque qui s'intensifie dans mes tympans.
Singapour BRAVO.


Lundi 14 janvier 2008 à 19:04










comme ça n'a jamais été.
Bonheur qui ferait alors encore plus mal si il venait à s'ecrouler.
Puisqu'il faut quand meme l'avouer, au risque de paraitre un je ne sais quoi trop guimauveuse.
Peur encore une fois de trop mal faire et de choir comme tout le ridicule de ce mot.
Les poummons denudés de leur ampleur, qui se battent, sifflants, pour aspirer  la moitiée de l'air dont il ont besoin.
BESOIN.
Te voir, t'entendre.
Oh mais quelle guimauve collante.
Je t'aime. OUAIS.









Vendredi 11 janvier 2008 à 16:00



Pas assez de temps.
Sentiment d'en perdre à chaque instant les muscle crispés qui s'en rendent compte eux aussi, haletante de le sentir filer entre mes doigts.
Plus de diversités, plus d'evolution, plus de progrès, plus de TEMPS.
Pour grandir et faire grandir ma main.
Lorsque la regression m'effraie plus que tout autre chose, regression detestée, redoutée comme le plus grand enemi.
"Amour mon pere et je nsais pas comment,
Peur de s'ecraser par terre, les doigt et la bouche en sang, visqueuse et craquelante comme enduite de 'wax.
des grand pas, des grandes jambes, enjamber tout ça sans etat d'ame.
Juste cette ambition maladive, ambition nombriliste et totalement introvertie, ambition de sentir le progres en soit, ambition de sentir qu'on le touche presque, et de ne faire que l'efleurer toute ma vie pour ne jamais m'arreter.
Enjamber tout ça comme un bouillon de lardon. Monter a une echelle transparente qui surtout ne doit pas etre publique.
Monter à cette echelle enfummée de mon souffle court.
Agreable comme de s'en fouttre completement, juste savoir que c'est comme ca et c'est tout.
Sentiment tellement ridicule et humain, plus rien n'est plus vraiment grave.
Meme pas cette niaiserie gluante sur mes doigt et ma tête, meme pas ce sentiment banal commun à tous, BEA.
amour ma mere et tout ses sentiments."

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