Dimanche 30 mars 2008 à 17:12



J'ai peur de n'être pas comme tu voudrais que je soit, même s'il ça parait dur a croire.
J'ai peur quand tu nme dis pas ce qu'il ne va pas, quand j'ai l'impression de ne pas comprendre.
Si je venais à vous perdre, ma bouche se dechirerai ensanglantée,la peau détrempée arrachée par tout les mots que je n'aurait pas du ou su dire.
L'impact me semble inévitable,  tu sais bien qu'il y a une fin a tout, mais, la votre et la mienne, la notre ne doit pas se montrer de si tôt.
Il faut que je progresse que je n'arrête jamais de progresser que je dessine mes propres doigts en train de taper sur le clavier, que je dessine mes propres yeux en train de s'y fatiguer, toute ma vie.
I wanna begin a drawing machine.

Mardi 25 mars 2008 à 16:41


photo de Mathilde.

Comme dans une chanson de prodigy.Bad bbbabbaddbad bad l'effet.Une bête rouge, énorme et liquide bouge dans mon ventre, comme une furie aux dents molles. mon corps n'est plus rien et je ne suis plus la pour le montrer, il bouge seul et je n'ai le droit de rien. Le plaisir s'allie a la souffrance et a la paranoïa. Mes membres s'emballent seuls, des tentacules mal articulées. Je me sens comme un pantin d'animation images par images. On change mes mouvements minutes par minutes rendant mon comportement incohérent.

CHANGE MY BITCH UP.

Les mots de prodigy assènent de violents coups à l'intérieur de moi Je veux dépasser mes propres limites et les leurs. Les mots sortent de ma bouche, le visage grimaçant un sourire provocateur, je veux les faire réagir, je veux le faire réagir, je veux sentir son dégout sur moi même, que je n'aurait aucune peine a comprendre,  sentir ses émotions puisque je ne peux plus en sentir de miennes. Je débite des paroles qui m'aurait fais pleurer mais qui ne me font rien, et j'adore ma langue qui diffuse son poison indolore.Je veux les forcer à dire, ce qui ferait exploser mon malêtre si étranger à moi même, pour le faire grandir jusqu'un nirvana d'incohérence.Je ne suis plus rien et je veux qu'ils me le disent, je veux qu'ils nient tout, revenir a zero, qu'ils nient et me fassent vomir leurs paroles, qu'ils me haïssent, qu'il soit dégouté par mon corps agité de spasmes.

I take your brain to another dimension.

Je veux être mal encore plus mal, je sens la douleur qui n'existe plus.L'anesthésie de mon bad l'effet, devient de plus en plus violente
et secoue ma tête dans tout les sens; contre les murs, les piliers, mon propre crâne.

Inhale inhale, inhale.
Come play my game
Psycho-somatic addict-insane
Exhale exhale exhale

Je cherche la douleur, je la demande. Je veux detruire ce qu'il reste de moi.Ce que j'ai laissé de moi, ici, pendant l'emprise d'elles sur moi.Je ne les maitrise plus et je les aimes, je les aimes plus que moi.Je demande pardon pour qu'on me le refuse,je demande de l'amour pour qu'on me déteste.Je me hais moi même dans cet absolu de confusion.Enfin elle arrive et je regrette déjà; mes mains crispées dans le plastique, mon corps brulant a froid, mon ventre se tord, mon cou se distend mes yeux pleurent tous mes muscles se crispent, je vomis. ma tête retombe et devient lourde.Mon cœur sans comprendre que c'est la fin continue à m'épuiser dans sa coursecontre la drogue, ma peau est bleuie, ma gorge déchirée.J'ai mal et ce mot seul suffit.




Samedi 22 mars 2008 à 8:44



version peut etre pas definitive.

Putain de rien a foutre de moi.

Vendredi 21 mars 2008 à 9:57


the future's not ours future
not ours future not our future
not ours future not ours future
not ours future not ours future
not ours future not ours future
not ours future not ours future
not ours futurenot ours future
not ours future...

S'il parait absurde de se faire la guerre pour le bon coté de l'œuf, il nous semble naturel de tuer pour la patrie, la famille, ou encore dieu.
Well, I've the key in my hand, all I have to find is the locker.
I have the key in my hand.
Je ne sais plus ce qu'ils veulent de moi.
Tu dois te débloquer de tes maîtres à penser.
C'est fait enfin je crois. Je me retrouve seule devant le vide.
Les silhouettes tremblent autour du sujet, sujet à des hallucinations, comme un artiste mort dans la neige, sa salive gelée est grise et  ses yeux violets.
Sortez le scalpel et coupez tout vos liens avec la pierre qui tombe avant qu'elle ne vous entraine.
Comme un aiguille dans une botte de foin, contemplons la multitude de ce qui nous étouffe.
Such crazy behaviors.
Les lumieres clignotent dans le nouveau far west, les cowboy ont crevé la bouche dans la poussière, comme le poisson de l'aquarium qui saute vers la liberté qui la tué; tué par un poison qui nous fais vivre.
Les paroies de verre sont de plus en plus invisibles mais de plus en plus présentes.
Elles mélangent et entrechoquent nos esprit comme dans le tambour d'une machine à laver.
Nos têtes sont comme les trous d'une cible immense
 les flèches sont tombées et on ne les trouve plus.

 


Lundi 17 mars 2008 à 10:04


blblblblh.

Laissez moi rire.
sabordez donc ce qu'il me reste d'assurance en piétinant mon échec qui me blesse déjà tant.
Je n'ai jamais voulu faire cette expo et son thème m'arrache les yeux de leurs orbites.
Comment vous dire que j'ai envie de pleurer rien qu'à savoir que "ça" va être exposé en mon nom.
Sans y avoir pensé je me suis laissée glisser dans l'entonnoir et je me retrouve devant cette obligation que je n'aurai jamais cru possible.
Je voudrais manger mes doigts pour ne plus produire de telles horreurs.
Pardon.
Les doigts sur le téléphone, les yeux sur msn , la bouche collée sur l'écran de mon portable. Quelle médiocrité.
Je ne veux plus te voir tant que tu n'en à pas envie, gloire aux douleurs de vivre dans le confort absolu.
Pouvoir tout faire et ne pouvoir s'en priver.
Les anciens restes de fumées incrustés dans ma gorge aspirent la chair douloureuse de celle ci au lieu du contraire.
Ma bouche bat le vide comme un poisson étouffé.
Un bras gauche bleuis de toi qui à mal en bougeant.
Gesticuler sur des lettres comme la frénésie des pattes de la mouche emprisonnée par l'araignée.
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
Je n'ai plus envie de sortir d'ici, inapte aux contact d'autre peaux, je sens mon corps prêt à absorber toutes maladies et ma tête prête à éclater et déverser son eau à tout moment.

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