Mardi 29 juillet 2008 à 9:07


En fait je t'aime. Et peut être que je viens de tout gâcher HOHOHO. Tu me manque. Pour du vrai.

Lundi 28 juillet 2008 à 14:33

ENTENDEZ VOUS,VOUS AUSSI, LORSQUE LE SILENCE S'INSTALLE, CE BRUIT CONTINU  GRAVE ET MULTIPLE, QUI EMPLIT VOS OREILLES, COMME LE BOURDONNEMENT QUE PRODUIT UNE TÉLÉ ALLUMÉE? DO YOU HEAR, TOO, WHEN THE SILENCE SETTLES DOWN, THIS GRAVE AND MULTIPLE CONTINUOUS NOISE, WHICH FILLS YOUR EARS, AS THE HUMMING WHICH PRODUCES A SWITCHED ON TV? VERSTEHEN SIE SIE, SIE AUCH, ALS RICHTET SICH DIE STILLE, DIESER ERNSTE UND VIELFÄLTIGE ANDAUERNDE LÄRM EIN(UNTER), DER IHRE OHREN, WIE DAS BRUMMEN FÜLLT, DAS EIN ANGEZÜNDETES TV HERSTELLT?

Samedi 26 juillet 2008 à 14:13


atterrant comme les gens sont égocentriques, et s'en rendre compte ne nécessite qu'un regard sur soi même. Je n'ai aucun espoir en l'humain, je ne crois pas que quelqu'un puisse être différent. Voir avec dégout comment eux et moi même recherchions, une seule parcelle de souvenirs où nous pourrions nous vanter d'avoir été bons pour ne pas se sentir dépassés pas la fausse bonté du commerçant intelligent. J'en vomirai des litres et des litres de la bonté humaine, où l'accomplissement d'une bonne action se note dans un coin du carnet qui fabrique notre égo, je me dégoute autant que vous me dégoutez, à me rendre compte que je cherche à nuire pour le plaisir, ne prenez donc pas cet air offensé.
Je ne sais pas grand chose. Même sur moi même, en se demandant si j'aime où si j'aime me faire aimer, si admire où si je hais et si j'envie ou si je jalouse.
Je me sens profondément malsaine et n'ai aucune envie que vous me jugiez comme tel. Pourtant quelle satisfaction étrange j'ai ressenti la toute première fois où j'ai provoqué une quelconque répugnance. Plaisir que je comprends aux méchants des dessins animés.



http://pack-paspack.cowblog.fr/

Samedi 26 juillet 2008 à 13:09


Je ne crois pas en dieu, je ne crois pas en moi, je ne crois pas en vous, je ne crois pas en l'homme.
Je suis encore une enfant parce que je ne comprends pas dans leur intégralité des mots comme crash boursier ou homme d'affaire, je ne sais pas si je n'ai pas encore compris qu'il n'y a rien à comprendre ou si il y a de réelles choses que je n'ai pas saisies,  j'ai le pressentiment que les comprendre ne m'apportera rien de considérable, pourtant cette ignorance m'apporte tout de même une certaine frustration.

Je ne sais pas trop si tu me manque encore, peut être une vague d'indépendantisme passagère m'empêche-t-elle de me rappeler comment tu embrasse, ris, et me prend dans tes bras.

Dimanche 6 juillet 2008 à 22:52



Les yeux vides. Il y a quelque chose en moi qui peine à sortir et tourne en rond, comme un ver  qui remonte vers ma gorge puis se ravise immédiatement.  Moi je n'ai rien à dire. Ces paroles dégueulasses qui sortent de mon ventre me révulsent.  Et pourtant.
Je suis dans mon corps comme dans un vêtement trop grand ou trop petit, mais je ne cherche pas ma place, elle est la. Je bouge, je range,je fais n'importe quoi pour ne plus penser. Ton squatte te les brises mon cher. Il y à la devant une vérité du monde dont je me fout complètement, il y a les gens qui souffrent, mutent, s'entretuent, ceux qui sont heureux, ceux qui ne savent pas, il y a le monde et, j'ai envie de dire comme tous, il y a moi. Le moi égocentrique et universel. le moi qui s'affiche hors de tout alors qu'il forme lui-même le tout. Le vertige et la satisfaction de ne pouvoir jamais dire "je suis seul". J'aime un garçon qui est à des milliards de kilomètres d'être un garçon banal; comme toutes les autres.
Et pourtant je suis dans l'eau et il n'a cas pousser ma tête pour qu'elle s'enfonce et se noie.

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