l'éveil passe par le changement et le changement passe par la curiosité.
La mort est une des plus grandes question de l'humain.
L' intime certitude que l'on aurai très bien pu être quiconque d'autre que soi même est frustrante et destructrice ou rassurante et satisfaisante.
La liberté passe par l'action, c'est l'action qui la matérialise, la rend réelle et la construit, ainsi la liberté ne peut exister et restera toujours cet idéal intouchable que nos actions régies par les contraintes de notre corps tenteront aussi futilement que vainement d'atteindre. Pourtant l'image de cette liberté sacralisée nous arrange, la liberté idéale est inaccessible et de là vient tout son attrait, nous nous projetons cette liberté pour cacher de son immense aura salvatrice la réelle liberté qui de sa seule présence nous pétrifie déjà. Alors penser assumer l' " Ô grande liberté"...
La liberté que l'on nous laisse est deja dure à assumer, si la liberté est l'etoffe de l'humain alors l'humain se defile de plus en plus, ajoutant contraintes sur contraintes à la vie en société, l'humain se cache derriere la raison pour étouffer cette liberté dont il n'est pas assez sage pour assumer la responsabilité. La liberté pure est une affabulation de l'esprit, la réelle liberté existe, le plus facile est de le nier.