Jeudi 31 janvier 2008 à 17:02



BLABLABLA.
Quand j'ai l'impression que mon ordi fait des ptits
effets pour passer d'une page à l'autre.
Putin d'envie de vomir en relisant toutes
ces pages, toutes les miennes
et toutes les autres,malaise en voyant ce
nombrilisme qui deborde des gorges
deployées et rosâtres.
On parle de soit comme d'un mythe,
un culte aux dimensions exagerées
qui ne nous choquent aucunement.
Quelle honte de n'avoir qu'un heros,
celui qui fait bouger nos membres.
Besoin de ce regard admiratif et envieux
de l'autre, besoin de sentir que l'on est
beau, que l'on vous regarde, sentir
ce regard sur vos gestes.
Rêve d'immobilité et de silence.
Dans ce grouillement semblable
aux gesticulements de vers et d' insectes.
Rien qu'une bouillie d'insectes
que l'on ecrase sur un parquet,
et qui eclabousse l'environement.
Honte d'avoir besoin aussi de tout ça.
Envie de silence, de neige,
de blanc de vide, ce vertige
enorme entre moi et mon corps
qui tourne, tourne dans ma tête.
Dans le brouhaha
et les corps qui me bousculent.
Dans le stress ridicule
et l'empressement general.
Deja besoin de vacances.


Mardi 29 janvier 2008 à 7:19



Je le hais et je hais mon corps surfaible de laisser ce ridicule monstre l'accaparer.
Bravo, la rentrée, belle impression.
Prendre mes côtes par l'interieur et les ecarteler, aracher ce qu' il me reste de peau sur les jambes, douleur ridicule.
J'ai mal et j'ai de la fievre.
Comme d'habitude on pourrait dire, ASTHME.
Mon corps se relevra a peine de cette maladie qu'il en contractera une autre.
Je me sens comme dans l'haleine brulante d'un monstre à la salive glacée.
Les frissons sur mes bras me sont etrangers, alors que je transpire et que j'etouffe.
La bombe est en haut.
Envie de tout detruire pour qu'il n'y ai plus rien à guerir.
Soignes toi bien. BIS.
Je suis tellement désolée de cette fragilité risible.
Mettant en doutte ma santé à chaque heure de sommeil manquée.
J'en veux plus, j'en ai trop eu de journée à rien faire, juste prendre des medoc.
J'en vomis de la maladie, j'en crache, j'en inspire, j'en bois.
Et j'ai l'impression qu'elle est omnipresente.
Je voudrais la frotter contre moi, à l'interieur de moi, lui montrer toutes mes cellules et la montrer à mon corps, comme un enemi banal et dominé.
Je voudrais en bouffer des anticorps, qu'on m'en greffe tiens.
Alors oui encore on srend compte de cet egocentrisme.
C'est tellement ridicule de ne jamais sortir de la maladie, c'est tellement frustrant de rester dans ce cercle et de perdre autant de temps.
Autant de temps avec vous.
Allez tais toi.

Jeudi 24 janvier 2008 à 16:08



VIDE.
Perplexe devant l'aspect surgore d'un pamplemousse devoré, comme de la viande par un fauve.
Par où est ce qu'on passe?
Toute ma vie avec vous,
Cherry.
Rythme de travail surlent et temps limité.
L'impression d'etre en avance par rapport à d'autres me frenne considerablerment.
Tout vivre avec vous,
Cherry.
Tout.

En boucle, infinita tristeza
Pour un rien, oui je sais.
Ok, babai, comme elle dit.
RA samara. tu l'a dis.





Mardi 22 janvier 2008 à 7:50



Le silence tout blanc sans aucune intrusion que ce soit de l'interieur ou de l'exterieur.
J'aimerai etre demunie de ce pouvoir que l'on utilise à mauvais escient.
plus parler. etre muette.
Un bouton sous la gorge, MUTE.
etre demunie de ce besoin maladif de communiquer, de dire, d'ecrire, d'envoyer, d'appeler.
Se sentir dependante est tellement insupportable , se lever le matin et regarder ses mails, son portable, ses messages sur msn deconectée, c'est tellement pathetique.
Je voudrais etre toujours toute proche et n'avoir rien a dire.
Je voudrais etre sure et savoir sans qu'on me le dise.
Capricieuse et puerile, peur de perdre le peu de ce que j'ai deja.
Impression que plus j'avance, plus je recule.
Cette certitude avancée par de vieux scientifiques est terrifiante.
L'enfant à un milliard ou plus de capacités d'aprentissage et de ce fait beaucoup plus de capacités a reflechir.
Plus nous avancons plus nous perdons de capacités et plus nous devenons passif devant une vie predecoupée.
Le silence denué de bacteries, microbes, poussieres, dénué de vie, de l'oxigène pure, le silence total aussi bien dans le son que dans la matiere, le vide desinfecté.
Athsme, chere amie, la gorge dilatée par ce medicament omniprésent.
Je tombe malade.
infinita tristeza.
infinita tristeza.
infinita tristeza.
infinita tristeza.

Vendredi 18 janvier 2008 à 16:21

wax tailor.


What ever will be, will be.
Je veux surtout ne jamais te perdre, entrecoupée de milliers d'excuses.
No doubt No doubt.
Envie d'en ecrire des tartines pour bien enfoncer le clou.
en essayant de me retenir de t'appeler HAHAHA.
Surcollante comme ce mal de tete qui s'insinue de plus en plus insistant.
Apres avoir dormi toute une apres midi, encore revulsée des cauchemars d'un someil dans la chaleur de ma couette en plein été.
Quant à mon visage sur les photos de mathilde que j'ose exhiber tant elle me change.
Chaud.
La musique tourne en boucle et j'en suis sure massacre mon cerveau douloureux.
Besoin de voir Lena. Pleurer pour rien avec elle.
OUAIS EXACTEMENT TU ME MANQUES VEAURIEN.
comme la basse repetitive de la Hardtech, un manque qui s'intensifie dans mes tympans.
Singapour BRAVO.


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