trouble.
rentrée de rien, d'un vide comme souvent trop plein de lui meme.
"tu verras, tu verras, tout recommenceras, tu verras, tu verras, l'amour c'est fait pour ça."
Pas encore anesthésiée de tout ces mots balancés les uns contre les autres?
à la derive derivés d'eux même metaphore en tout genre et tournures recherchées, toutes présentes, là, dans chaque page qui illustre tout un monde virtuel mais presque plus réel a l'heure actuelle que celui dont on fait materiellement partie.
Comme des milliers de greffes stockées en attente et qui redoutent le rejet, et d'autre milliers déjà enkistées.
Comme ce mot fait mal a lui seul, enkisté fait mal au corps.
Et tout leurs mots fait naitre ce trouble.
Qui remonte et fait des remouts.
Alors qu'ils sont inombrables et tous en bcp de point semblables, alors qu'ils sont etrangers et anonyme, comment peuvent ils etre encore troublants?
Ou peu etre que le mot trouble n'est pas aproprié.
Voir la vie livrée ou dissimulée sur toutes ces pages, toutes ces images, toutes ces phrases.
la vie elle meme, ou plutot la vie deformée par les yeux des vivants.
La proffusion de tout ces messages affole nos sens peut etre et nous pousse a ce trouble qui nous fait encore ecrire, pour le communiquer.
Ce besoin est il nouveau, la communication devient une drogue.
drogue dure?
comment jme sens après deux jours de silence radio?
drogue dure.
Est ce alors une nouvelle faiblesse, nulesse.
Dependant d'encore une nouvelle chose.
Plus l'humain avance et plus il dvient dependant.
Ou peut etre que, juste, les dependances changent.
Troublée par Eux * et leur mot soupesés qui se veulent transpercant et emprunt de reflexion personnelle.
PAREIL.
comme moi. Vous, toi et tout.
Encore cette triste conclusion qui a force d'exister devient victime d'un fatalisme forcé et le mot triste vient a disparaitre.
PAREIL, uniforme, bien rangés, identique de difference.
Nous somme pareils.
et nous avons peur de perdre le fil de tous.