Lundi 14 janvier 2008 à 19:04










comme ça n'a jamais été.
Bonheur qui ferait alors encore plus mal si il venait à s'ecrouler.
Puisqu'il faut quand meme l'avouer, au risque de paraitre un je ne sais quoi trop guimauveuse.
Peur encore une fois de trop mal faire et de choir comme tout le ridicule de ce mot.
Les poummons denudés de leur ampleur, qui se battent, sifflants, pour aspirer  la moitiée de l'air dont il ont besoin.
BESOIN.
Te voir, t'entendre.
Oh mais quelle guimauve collante.
Je t'aime. OUAIS.









Vendredi 11 janvier 2008 à 16:00



Pas assez de temps.
Sentiment d'en perdre à chaque instant les muscle crispés qui s'en rendent compte eux aussi, haletante de le sentir filer entre mes doigts.
Plus de diversités, plus d'evolution, plus de progrès, plus de TEMPS.
Pour grandir et faire grandir ma main.
Lorsque la regression m'effraie plus que tout autre chose, regression detestée, redoutée comme le plus grand enemi.
"Amour mon pere et je nsais pas comment,
Peur de s'ecraser par terre, les doigt et la bouche en sang, visqueuse et craquelante comme enduite de 'wax.
des grand pas, des grandes jambes, enjamber tout ça sans etat d'ame.
Juste cette ambition maladive, ambition nombriliste et totalement introvertie, ambition de sentir le progres en soit, ambition de sentir qu'on le touche presque, et de ne faire que l'efleurer toute ma vie pour ne jamais m'arreter.
Enjamber tout ça comme un bouillon de lardon. Monter a une echelle transparente qui surtout ne doit pas etre publique.
Monter à cette echelle enfummée de mon souffle court.
Agreable comme de s'en fouttre completement, juste savoir que c'est comme ca et c'est tout.
Sentiment tellement ridicule et humain, plus rien n'est plus vraiment grave.
Meme pas cette niaiserie gluante sur mes doigt et ma tête, meme pas ce sentiment banal commun à tous, BEA.
amour ma mere et tout ses sentiments."

Lundi 7 janvier 2008 à 10:47



touch.

Lundi 7 janvier 2008 à 9:44


photo de papa. copyright.

Douche froide, peau herissée.

vive le roi.

La chaleur reprends du terrain, et l'odeur d'essence de la debroussailleuse tourne les têtes.
Tete trop pleine d'on ne sait plus bien quoi, ce "on ne sait plus bien quoi" qui devient pesant, genant, surlourd.
Qui accompagne partout et accentue ce manque d'air, athsme.
Chere maladie, pas assez grave pour etre importante et trop présente pour etre supportable.
Les poumons ecrasés.
Ematome de corps sepia.

2008... aucune resolution, Hohoho.

Anniversaire de Mathias il y a trois jours et pas de credit.

Sans vouloir comprendre ce que je suis en train de fabriquer.

quest ce tu veux. Bordel.

comme tout le monde les pieds dans le plat à essayer se depatouiller en vain de toutes nos erreurs aux allures de chewing gum fondus sur la chaussée.
Comme tout le monde les yeux braqués sur moi meme à me lamenter de defauts dont tout le monde se fout.
Comme tout le monde l'esprit enfermé dans une quête sans fin, nombriliste et ridiculement minimaliste, une fausse quête où l'on ne sait pas si l'on se satisfait de tout ou si l'on a vraiment cherché.

2008, c'est repartit pour un tour, un tour de plaisir, d'emmerdes, et de cafouillages en tout genre.
D'hesitations mediocres et de choix inutiles.
2008; c'est repartit pour ce monologue trainant, qui se renferme sur un bilan qui met si mal a l'aise.

Ce malaise, maletre toujours present lorque l'on a parlé de soit.
sensation ridicule d'avoir perdu un bout de soit meme.


2008, c'est repartit et avec le sourire s'il vous plait.






Mercredi 2 janvier 2008 à 18:09


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