Jlai fini...
La fin quand la respiration, elle se saccade avec le suspense et quand elle s'egorge devant la page blanche.
Mal un peu a la tete, jme sens comme les crevette congelés,
cmatin jme suis reveillé la premiere fois après lavoir revé.
Quand jmen veux dpenser autant, mais que jsais qupourtant jpense pas assez au reste.
Elle et ses crises de nerfs, elle et son grand amour si beau, et paradoxalement utopique, elle et son caractère qui fait envie tout en ne le faisant pas, qui fais peur mais qui parfois nous rassure entre les pages coupantes et chaleureuse du livre.
Cmatin après lavoir révé jme suis sentie presque coupable.
Coupable parceque jme dis quj'en avais pas ldroit, ridicule de me rendre compte que jme dis ça.
Envie de demander pardon et honte d'en avoir envie.
Atchablabla blablateuse monologuiste.
"dis moi le dont ce non di la" Olivia ruiz.
Devant moi stenais lmiroir et il fesait demi nuit a cause des rideaux epais.
les yeux tout ptit dmetre reveillée a midi.
A cinq centimètre d'une autre peau.
Comme les nerf a pot dfleur, un frison a fleur de pot a souvnir d'hier.
les longue inspiration pour faire oublier l'asthme qui commence.
et puis on descend on dejeune on s'habille.
Comme confinée dans une toute petite boite, une boite a musique, un kaleidoscope, avec toujours ce "du mal a respirer" .